Les chiffres-clés de l'étude
La proportion de chacun de ces profils a été évaluée sur quatre thématiques particulièrement liées à un contexte de transformation : l’attraction et la fidélisation des talents dans les PME, la transformation digitale, la Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE) et l’usage des réseaux sociaux.
59 % des interrogés sur l’attraction et la fidélisation des talents ont une attitude « Empirique ».
Ils s’inscrivent dans une logique de professionnalisation de leur gestion des ressources humaines, la majorité d’entre eux ayant formalisé leur politique RH. Néanmoins, le déploiement de cette dernière semble encore leur poser des difficultés : ils doivent travailler à diversifier les canaux de recrutement et les leviers de fidélisation autres que le salaire pour progresser.
Seulement 13 % des dirigeants sont « Précurseurs » sur le sujet de la transformation digitale.
Ils se distinguent notamment en associant régulièrement leurs clients à la conception de leurs offres, puisqu’ils sont 89 % à le faire.
Ils sont plus de 64 % à adopter une attitude « Empirique » face au sujet de la RSE.
Ils perçoivent bien un potentiel d’attractivité mais des marges de progression existent ; sur le volet sociétal par exemple, où seuls 21 % d’entre eux ont mis en place des mesures visant à appuyer des initiatives locales de développement.
38 % des dirigeants adoptent une posture « Attentiste » sur les sujets des relatifs aux réseaux sociaux.
Ce défaut d’intérêt se ressent au niveau de leur organisation : ils n’en font pas une priorité pour le développement ou dans la stratégie de leur entreprise, et ils ne considèrent pas que cela fasse partie de leur rôle de dirigeant de s’exprimer via ce médium et d’en faire un outil de communication récurrent.
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